La version française se trouve ci-dessous
French version, see below
Statement by OHCHR Spokesperson Rupert Colville on the use
of the death penalty in Indonesia
GENEVA (29 April 2015) – “Indonesia appeals for clemency
when its own nationals face execution in other countries, so it is
incomprehensible why it absolutely refuses to grant clemency for lesser crimes
on its own territory. It is extremely regrettable, extremely sad that these
people have been deprived of their lives. Under international law, if the death
penalty is to be used at all, it should only be imposed for the most serious
crimes, essentially those involving intentional killing. Drug-related offenses
are not considered to fall under the category of 'most serious' crimes. The
High Commissioner, the Secretary-General, and other key United Nations entities
urged Indonesia time and time again not to proceed with these executions. We
appeal once again most strenuously to Indonesia to reinstate its moratorium on
the death penalty.”
ENDS
For more information and media requests, please contact
Rupert Colville (+41 22 917 9767 /rcolville@ohchr.org), Ravina Shamdasani (+41
22 917 9169 / rshamdasani@ohchr.org)or Cécile Pouilly (+41 22 917 9310 / cpouilly@ohchr.org)
UN Human Rights, follow us on social media:
Twitter: http://twitter.com/UNrightswire
YouTube: http://www.youtube.com/UNOHCHR
Storify: http://storify.com/UNrightswire
Déclaration du
porte-parole du Haut-Commissariat aux droits de l'homme Rupert Colville sur
l'utilisation de la peine de mort en Indonésie
GENEVE (29 avril 2015) – « L'Indonésie lance des appels à la
clémence lorsque ses citoyens risquent d'être exécutés dans d'autres pays. Il
est donc impossible de comprendre son refus absolu d'accorder sa clémence pour
des crimes moins graves sur son propre sol. Il est extrêmement regrettable et
extrêmement triste que ces gens aient perdu la vie. Au regard du droit
international, si la peine de mort doit vraiment être utilisée, elle ne devrait
être infligée que pour les crimes les plus graves, principalement ceux
impliquant un homicide volontaire. Les délits liés à la drogue ne sont pas
considérés comme relevant de la catégorie des crimes « les plus graves ». Le
Haut-Commissaire, le Secrétaire général et d'autres entités importantes des
Nations Unies ont exhorté à maintes et maintes reprises l'Indonésie à ne pas
procéder à ces exécutions. Nous demandons à nouveau à l'Indonésie de rétablir
son moratorium sur la peine de mort. »
FIN
Pour plus d’information ou pour toute demande de la part des
médias, veuillez contacter: Rupert Colville (+41 22 917 9767/
rcolville@ohchr.org) ou Ravina Shamdasani (+41 22 917 9169 /
rshamdasani@ohchr.org) ou Cécile Pouilly (+41 22 917 9310 / cpouilly@ohchr.org)
Pour en savoir davantage au sujet du Haut-Commissariat des
Nations Unies aux droits de l’homme: http://www.ohchr.org
UN Human Rights, suivez nous sur les réseaux sociaux:
Twitter: http://twitter.com/UNrightswire
YouTube: http://www.youtube.com/UNOHCHR
Nema komentara:
Objavi komentar