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07. 05. 2015.

MEDIA STATEMENT (ENGLISH/FRENCH) - Statement by OHCHR Spokesperson Rupert Colville on



La version française se trouve ci-dessous
French version, see below

Statement by OHCHR Spokesperson Rupert Colville on the use of the death penalty in Indonesia

GENEVA (29 April 2015) – “Indonesia appeals for clemency when its own nationals face execution in other countries, so it is incomprehensible why it absolutely refuses to grant clemency for lesser crimes on its own territory. It is extremely regrettable, extremely sad that these people have been deprived of their lives. Under international law, if the death penalty is to be used at all, it should only be imposed for the most serious crimes, essentially those involving intentional killing. Drug-related offenses are not considered to fall under the category of 'most serious' crimes. The High Commissioner, the Secretary-General, and other key United Nations entities urged Indonesia time and time again not to proceed with these executions. We appeal once again most strenuously to Indonesia to reinstate its moratorium on the death penalty.”

ENDS

For more information and media requests, please contact Rupert Colville (+41 22 917 9767 /rcolville@ohchr.org), Ravina Shamdasani (+41 22 917 9169 / rshamdasani@ohchr.org)or Cécile Pouilly  (+41 22 917 9310 / cpouilly@ohchr.org)

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Déclaration du porte-parole du Haut-Commissariat aux droits de l'homme Rupert Colville sur l'utilisation de la peine de mort en Indonésie

GENEVE (29 avril 2015) – « L'Indonésie lance des appels à la clémence lorsque ses citoyens risquent d'être exécutés dans d'autres pays. Il est donc impossible de comprendre son refus absolu d'accorder sa clémence pour des crimes moins graves sur son propre sol. Il est extrêmement regrettable et extrêmement triste que ces gens aient perdu la vie. Au regard du droit international, si la peine de mort doit vraiment être utilisée, elle ne devrait être infligée que pour les crimes les plus graves, principalement ceux impliquant un homicide volontaire. Les délits liés à la drogue ne sont pas considérés comme relevant de la catégorie des crimes « les plus graves ». Le Haut-Commissaire, le Secrétaire général et d'autres entités importantes des Nations Unies ont exhorté à maintes et maintes reprises l'Indonésie à ne pas procéder à ces exécutions. Nous demandons à nouveau à l'Indonésie de rétablir son moratorium sur la peine de mort. »

FIN

Pour plus d’information ou pour toute demande de la part des médias, veuillez contacter: Rupert Colville (+41 22 917 9767/ rcolville@ohchr.org) ou Ravina Shamdasani (+41 22 917 9169 / rshamdasani@ohchr.org) ou Cécile Pouilly (+41 22 917 9310 / cpouilly@ohchr.org)

Pour en savoir davantage au sujet du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme: http://www.ohchr.org

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